Vacances 2013, étape 19.

Point de départ :Moulay (5km au sud de Mayenne), 8h40.
Point de destination :Mortagne-au-Perche 18h10.
Kilomètres du jour :120 km.
Kilomètres cumulés :1838+120 = 1858 km.
Départements traversés :Mayenne (53), Orne (61).

Le SMS du jour.

Sec au matin, une petite averse vers 11h, une belle à 14h30 à la sortie d'Alençon, une vraie avec crac boum, à la seconde de mon arrivée. 120 km. Jean.

La carte du jour.


Carte interactive.

La journée.

Je trouve facilement la voie verte. C'est beaucoup plus calme que la N162 pour rejoindre Mayenne et continuer vers l'est.
Après une trentaine de kilomètres de voie verte, je m'arrête à Villaines-la-Juhal, pour acheter deux sandwiches et des cookies.
J'enfile la veste de pluie juste à ce moment. Cela gronde au loin, mais cela ne dure pas. La chaussée est bien trempée.
La route jusqu'à Alençon est plus régulière que la route d'hier.
J'achète 300 grammes de cerises fermes et un peu acides, elles seront désaltérantes et nourrisantes en fin de parcours !
Je fais viser mon carnet de route chez une fleuriste.
Il me faut une heure entre le centre d'Alençon et le début de la voie verte, dix kilomètres plus loin, en incluant une pause averse + sandwich.
Le début de la voie verte vers Mortagne est très bon.
La fin de ce morceau est moins bon, le vélo enfonce de 5 mm, en laissant une belle marque dans la cendrée... la moyenne baisse !
A Mortagne, en sortant mon plan, je trouve ma destination facilement.
Les premières gouttes tombent lorsqu'on m'ouvre la porte.
Ce fut une averse à 30mm, selon le pluviomètre de mes hébergeurs-agriculteurs !

Alimentation.

Je mange la moitié de la baguette vers 11h30.
Je mange l'autre moitié vers 14h30.
Quelques cerises et un cookie vers 17h.
Repas du soir : salade et charcuterie, rôti de porc + pommes de terre, servi avec les trois enfants.
Ne l'interprétez pas mal, je n'ai pas mangé trois enfants en petit salé, avant que Saint Nicolas vienne les délivrer !

Vitesse moyenne.

15,8 km/h.

La vie du destrier.

Les voies vertes, autorisées aux équidés, c'est à dire les vrais chevaux à sabots, et non ceux à roues comme moi, c'est une vraie calamité.
Les traces des sabots, en font une vraie tôle ondulée.
Quelles vibrations, pfff. Je n'aime vraiment pas les voies vertes.
En prime, les voies vertes avec la pluie, ce n'est qu'une salissure.
Quand je pense que j'étais tout propre hier soir... tout est à recommencer !
Je n'aime pas du tout les voies vertes.

Quelques photos.



photo 00632 : Rue du Quartz (panneau,la rue qui ne se remonte jamais, toujours en descente).


photo 00639 : Ferme de l'Orne.
Déposer un commentaire...