Vacances 2014, étape 23.

Point de départ :Vendôme, 8h20.
Point de destination :Villedieu-sur-Indre, 16h30.
Kilomètres du jour :131 km.
Kilomètres cumulés :2231+131= 2362 km.
Départements traversés :Loir et Cher (41), Indre (36).

Le SMS du jour.

Je suis au sud de la Loire, j´ai roulé 131 km avec un vent globalement favorable et peu de relief. Demain avec la Creuse, c´est moins plat... Jean.

La trace du jour.

Y accéder intéractivement.

La journée.

Le "Game Fair".

photo 02205 : Congrès national des chasseurs, la grand-messe !

C´est cet événement qui m´a forcé à détourner d´autant ma route de Blois, pour trouver un hébergement.
En pratique, vu que l´événement se passe au château de Chambord, bien plus à l´est de ma route, cela ne me perturbe pas (embouteillages,...).

La Sologne et son relief.

Au sud de Blois, je croyais trouver la Sologne, ses étangs...
Il ne faut pas confondre Blois et Angers !
C´est donc en petites montées successives que j´ai atteint 200 mètres d´altitude, sans véritable raidillon.

La route.

Pour rejoindre Blois, depuis Vendôme, je trouve un réseau de petites routes, qui ne m´allongent la distance que de six kilomètres (35 au lieu de 29).
C´est le prix de la quiétude.

Au sud de Blois, je ne trouve pas une manière simple d´éviter la route nord-sud sans faire d´énormes détours.
Ma journée est dense avec environ 125 kilomètres au programme.
Je décide donc de prendre la route directe, sachant que nous sommes un dimanche, avec une fête à connotation familiale.
Finalement, j´ai eu raison, je n´ai croisé aucun poids lourd, et puis, une fois que la route s´est divisée entre les branches Limoges et Châteauroux, le trafic est devenu très raisonnable.

Le vent.

Aujourd'hui, le vent m´est favorable.
Il m´a au moins épargné une heure de route.
Il n´est pas continuellement favorable.
Dans les forêts, il passe au-dessus des arbres.
A certains moments, il était perpendiculaire à ma route.

Alimentation.

Salade piémontaise (12h15), pas d´autre "en cas".
Une grande pizza.

Vitesse moyenne.

18.90 km/h.

La vie du destrier.

Ce matin, profitant de l´avoine, pardon du vent, il est parti comme un fou.
Après Blois, il a remis cela, mais un peu moins fougueusement.
Après son repas, je l´ai retrouvé dans un rythme que je lui connais bien.
Pour les six derniers kilomètres, on dit que "les chevaux sentent l´écurie", il a remis le paquet, presque comme au début, comme un fou-fou.
Dodo : A côté d´un vélo de fille... un Nakamura.
Pas loin du vélo de la patronne, du traditionnel bien français d´époque.