Vacances 2015, étape 6.

Point de départ :Fismes, 8h30.
Point de destination :Compiègne, 16h10.
Kilomètres du jour :84 km.
Kilomètres cumulés :460+84 = 544 km.
Départements traversés :Marne (51), Aisne (02), Oise (60).

Le SMS du jour.

Le vent du nord est toujours présent. Je le subis moins, car mon cap est orienté à l'ouest. Compiègne en 84 km, en passant par Soissons. Jean.

La trace du jour.

Y accéder intéractivement.

La journée.

La N31 ralliant Soissons à Reims (via Fismes), est un long chapelet de semi-remorques, avec de nombreuses sections en 2x2 voies.
Je n'envisage pas une seule seconde de l'emprunter.

Pour aller à Soissons, je découvre un réseau de petites routes pour rejoindre la D6 sur un chemin de plateau.
Cela se voit d'ailleurs fort bien sur le profil de l'étape.
Le tout se passe parfaitement jusque la D6.
Le revêtement de cette route est très rugueux, et très inconfortable avec mes fins pneumatiques.

Je ferai deux détours pour éviter cette route, sur laquelle il passe aussi d'assez gros camions pressés.

J'arrive à Soissons vers midi avec l'impression d'avoir relativement peu progressé.
L'après-midi, je suis la vallée de l'Aisne sur la rive opposée à celle utilisée par la N31. Tout se passe bien.
Je trouve facilement l'hôtel, sans utiliser le GPS (16h10).
Vers 17 heures, j'engloutis un pain aux raisins, car j'ai vraiment faim.

Je pars "à la conquête de la ville". Trouver des cartes postales touristiques s'avérera être un véritable parcours du combattant.
J'y trouve une FNAC ouverte, j'y achète un câble USB/mini-USB, qui me permet de rapatrier les traces du GPS.
En effet, j'ai oublié ce câble à Grenoble, ainsi qu'un sachet en plastique, pour ranger le linge sale, il faudra compléter la liste des bagages.

Alimentation.

Le midi : deux sandwiches, achetés au matin.
Le soir : une salade avec une terrine de gésiers de canards au chou, du lieu à la crème, accompagné de chou, une mousse au chocolat multicolore.

Vitesse moyenne.

14.60 km/h.

La vie du destrier.

Moi, cette journée, je ne l'ai pas trouvée rigolote du tout !
Je n'ai eu aucun beau paysage à contempler.
Je trouve que mon maître joue vraiment au lièvre face à la tortue (et pas la torture).
Le matin, avec ses fameux détours, il n'a quasiment pas avancé.
L'après-midi, c'était un peu mieux, mais pas encore bien terrible !
En plus, tout ce vent dans mes oreilles ... pardon, mon guidon, cela me saoûle !
Concernant la cartographie, mon maître a fait un peu mieux qu'il y a deux jours pour trouver l'hôtel.
Pour le bilan kilométrique, juste 84 km presque plats... Soit !